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Formulaire

- La métaphore n'est que le synonyme du déplacement
symbolique, mis en jeu dans le symptôme. [Lac66a, p. 260]

- L'algorithme de la discipline linguistique est
et se lit, `signifiant sur signifié'.
[Lac66a, p. 497]

- Les algorithmes mathématiques sont sans aucun sens.
[Lac66a, p. 498]

- L'algorithme
n'est lui-même que pure fonction de
signifiant. [Lac66a, p. 501]

- La métonymie est la fonction proprement signifiante dans
le langage. [Lac66a, p. 505]

- La métaphore jaillit entre deux signifiants, dont l'un
s'est substitué à l'autre, en prenant sa place dans la chaîne
signifiante. [Lac66a, p. 507]

- Dans la métaphore, le signifiant occulté reste présent
de sa connexion métonymique au reste de la chaîne.
[Lac66a, p. 507]

- La Verdichtung, ou condensation, c'est la
structure de surimposition des signifiants où la métaphore prend son
champ. [Lac66a, p. 511]

- La Verschiebung, ou déplacement, c'est ce virement
de la signification que la métonymie démontre. [Lac66a, p. 511]

- L'algorithme
définit la topique de l'inconscient.
[Lac66a, p. 515]

- La structure métonymique peut être symbolisée par la
formule:
le signe
manifeste la barre
de
sur
. [Lac66a, p. 515]

- La structure métonymique, c'est la connexion du
signifiant au signifiant, qui permet l'élision par quoi le
signifiant installe le manque de l'être, dans la relation d'objet.
[Lac66a, p. 515]

- La structure métonymique se sert de la valeur de renvoi
de la signification, pour l'investir du désir visant le manque qu'il
supporte. [Lac66a, p. 515]

- Le signe
de la métonymie marque
l'irréductibilité où se constitue, dans les rapports du signifiant au
signifié, la résistance de la signification. [Lac66a, p. 515]

- La structure métaphorique est symbolisée par la formule
[Lac66a, p. 515]

- La structure métaphorique indique que c'est dans la
substitution du signifiant au signifiant que se produit un effet de
signification. [Lac66a, p. 515]

est latent dans la métonymie.
[Lac66a, p. 515]

est patent dans la métaphore.
[Lac66a, p. 515]

- Le signe
de la formule de la métaphore manifeste
le franchissement de la barre -. [Lac66a, p. 515]

- Le signe
de la formule de la métaphore désigne
la congruence. [Lac66a, p. 515]

- Le mécanisme à double détente de la métaphore est
celui-là même où se détermine le symptôme au sens analytique.
[Lac66a, p. 518]

- Le symptôme est la métaphore où la chair, ou bien la
fonction, sont prises comme élément signifiant. [Lac66a, p. 518]

- Le symptôme est une métaphore. [Lac66a, p. 528]

- Le désir est une métonymie. [Lac66a, p. 528]

- Quelque chose lie la métaphore à la question de l'être.
[Lac66a, p. 528]

- Quelque chose lie la métonymie au manque à être.
[Lac66a, p. 528]

-
est l'algorithme du fantasme.
[Lac66a, p. 554]

- La signification du phallus n'est évoquée que par la
métaphore paternelle. [Lac66a, p. 555]

- La signification du phallus doit être évoquée dans
l'imaginaire du sujet par la métaphore paternelle.
[Lac66a, p. 557]

- La formule de la métaphore ou substitution signifiante
est: [Lac66a, p. 557]

- Dans la formule de la métaphore, les
sont des
signifiants,
est la signification inconnue,
est le signifié
induit de la métaphore,
se substitue à
,
est élidé pour la réussite de la métaphore. [Lac66a, p. 557]

- La chaîne signifiante se développe selon des liaisons
logiques, dont la prise sur ce qui est à signifier s'exerce par les
effets de signifiant, métaphore et métonymie. [Lac66a, p. 575]

- La condition essentielle de la psychose est la
forclusion du Nom-du-Père à la place de l'Autre et l'échec de la
métaphore paternelle. [Lac66a, p. 575]

- Dans la psychose stabilisée, signifiant et signifié se
stabilisent dans la métaphore délirante. [Lac66a, p. 577]

- La formule de la métaphore s'applique à celle du Nom-du-Père de la façon suivante: [Lac66a, p. 557]

- Dans la chaîne signifiante, la substitution d'un terme à
un autre produit l'effet de métaphore. [Lac66a, p. 622]

- Dans la chaîne signifiante, la combinaison d'un terme à
un autre produit l'effet de métonymie. [Lac66a, p. 622]

- Le rêve est métaphore du désir. [Lac66a, p. 622]

- La métaphore est un effet de sens positif.
[Lac66a, p. 622]

- La métaphore est un certain passage du sujet au sens du
désir. [Lac66a, p. 622]

- Le rêve procède par effet de la métaphore.
[Lac66a, p. 622]

- La métonymie est cet effet rendu possible de ce qu'il
n'est nulle signification qui ne renvoie à une autre signification.
[Lac66a, p. 622]

- Dans la pulsion
, le
est le
en
fading dans la coupure de la demande. [Lac66a, p. 634]

- Le désir est la métonymie du manque à être.
[Lac66a, pp. 623,640]

- Le moi est la métonymie du désir.
[Lac66a, p. 640]

- Le désir règle la répétition signifiante du névrosé
comme sa métonymie. [Lac66a, p. 682]

- La métonymie et la métaphore sont génératrices du
signifié. [Lac66a, p. 689]

- La métaphore se définit par l'implantation, dans une
chaîne signifiante, d'un autre signifiant, par quoi celui qu'il
supplante tombe au rang de signifié. [Lac66a, p. 708]

- Le signifiant de la métaphore qui tombe au rang de
signifié est un signifiant latent. [Lac66a, p. 708]

- Dans la formule du fantasme
, le poinçon
se lit `désir de', à lire de même de droite à gauche.
[Lac66a, p. 774]

- Le point d'aphanisis est supposé en
dans la
formule du fantasme. [Lac66a, p. 775]

- Le schéma ici désigne les objets,
,
,
,
,
,
. [Lac66a, p. 774]

- Les effets de substitution métaphorique du signifiant
apparaissent dans la dimension synchronique du discours.
[Lac66a, pp. 799-800]

- Les effets de combinaison métonymique du signifiant
apparaissent dans la dimension diachronique du discours.
[Lac66a, pp. 799-800]

- Le moi ne s'achève qu'à être articulé comme métonymie de
la signification du Je du discours. [Lac66a, p. 809]

- Le graphe complet, schéma ici, décrit:
jouissance,
,
, castration,
,
,
signifiant,
,
, voix,
,
,
,
.
[Lac66a, p. 817]

- Le passage du
de l'image phallique, d'un
côté à l'autre de l'équation de l'imaginaire au symbolique, le
positive, et il devient le
. [Lac66a, p. 823]

- Le désir fait son lit de la coupure signifiante où
s'effectue la métonymie. [Lac66a, p. 835]

- Le langage des animaux est un langage de signes qui
n'admet pas la métaphore, ni n'engendre la métonymie.
[Lac66a, p. 840]

- La métonymie est le véhicule du désir.
[Lac66a, p. 843]

- La formule de la métaphore est: [Lac77b, p. 12]

- La métaphore peut s'écrire: [Lac77b, p. 12]

- La formule de la métaphore rend compte de la condensation
dans l'inconscient. [Lac77b, p. 15]

- La formule de la métonymie rend compte du déplacement dans
l'inconscient. [Lac77b, p. 15]

- L'objet
est le pivot dont se déroule chaque tour
de phrase, en sa métonymie. [Lac77b, p. 16]

- Le fantasme fait fonction de l'axiome, au niveau de
l'interprétation. [Lac84b, p. 16]

- Le supposé par le sujet s'écrit avec la formule:
est le signifiant du transfert;
représente
le sujet; les éléments entre parenthèses représentent le savoir,
supposé présent, des signifiants dans l'inconscient.
[Lac68f, p. 19]

- Il n'y a pas de rapport sexuel formulable dans la
structure. [Lac70d, p. 65]

- La métaphore, c'est la substitution d'un signifiant à un
autre. [Lac70d, p. 67]

- La métonymie, c'est la sélection d'un signifiant dans sa
suite. [Lac70d, p. 67]

- La métaphore obtient un effet de sens d'un signifiant.
[Lac70d, p. 68]

- La métaphore n'obtient pas un effet de signification.
[Lac70d, p. 68]

- La métonymie, joue de la jouissance où le sujet se produit
comme coupure. [Lac70d, p. 70]

- L'inconscient n'est que terme métaphorique à désigner le
savoir qui ne se soutient qu'à se présenter comme impossible.
[Lac70d, p. 77]

- Le rapport d'organe du langage à l'être parlant est
métaphore. [Lac73a, p. 33]
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Jacques B. Siboni