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Symptôme, sinthome
 
- Le moi représente le centre de toutes les résistances à
 la cure des symptômes. [Lac66a, p. 118]
 
 
- Le symptôme ne s'interprète que dans l'ordre du
 signifiant. [Lac66a, p. 234]
 
 
- Le symptôme est vérité. [Lac66a, p. 235]
 
 
- La métaphore n'est que le synonyme du déplacement
 symbolique, mis en jeu dans le symptôme. [Lac66a, p. 260]
 
 
- Le symptôme se résout tout entier dans une analyse de
 langage, parce qu'il est lui-même structuré comme un langage.
 [Lac66a, p. 269]
 
 
- Le symptôme est langage dont la parole doit être
 délivrée. [Lac66a, p. 269]
 
 
- Dans les névroses, le symptôme est le signifiant d'un
 signifié refoulé de la conscience du sujet. [Lac66a, p. 280]
 
 
- Il s'agit d'un langage de désir dans les symboles du
 symptôme. [Lac66a, p. 293]
 
 
- Le langage du symptôme a le caractère universel d'une
 langue qui serait entendue dans toutes les autres langues.
 [Lac66a, p. 293]
 
 
- Le langage du symptôme est le langage qui saisit le
 désir au point où il s'humanise. [Lac66a, pp. 293-294]
 
 
- Le Moi se forme des mêmes moments qu'un symptôme.
 [Lac66a, p. 336]
 
 
- La personnalité du sujet est structurée comme le
 symptôme qu'elle ressent comme étranger. [Lac66a, p. 341]
 
 
- Le symptôme est le retour du refoulé dans le compromis.
 [Lac66a, p. 358]
 
 
- Le symptôme a structure signifiante.
 [Lac66a, p. 415]
 
 
- C'est dans la désagrégation de l'unité imaginaire que
 constitue le moi, que le sujet trouve le matériel signifiant de ses
 symptômes. [Lac66a, p. 427]
 
 
- Le symptôme est symbolique. [Lac66a, p. 437]
 
 
- Le symptôme psychanalysable est soutenu par une
 structure qui est identique à celle du langage. [Lac66a, p. 444]
 
 
- Si le symptôme peut être lu, c'est parce qu'il est déjà
 lui-même inscrit dans un procès d'écriture.
 [Lac66a, pp. 444-445]
 
 
- Le symptôme n'est pas une signification.
 [Lac66a, p. 445]
 
 
- Le mécanisme à double détente de la métaphore est
 celui-là même où se détermine le symptôme au sens analytique.
 [Lac66a, p. 518]
 
 
- Le symptôme est la métaphore où la chair, ou bien la
 fonction, sont prises comme élément signifiant. [Lac66a, p. 518]
 
 
- Le symptôme est une métaphore. [Lac66a, p. 528]
 
 
- Les symptômes sont surdéterminés.
 [Lac66a, p. 636]
 
 
- Le trauma s'implique dans le symptôme selon le  Nachträglich, l'après-coup. [Lac66a, p. 839]
 
 
- Ce qui opère dans l'interprétation, c'est l'articulation
 des signifiants dans le symptôme. [Lac66a, p. 842]
 
 
- Des signifiants se sont trouvés pris dans le symptôme.
 [Lac66a, p. 842]
 
 
- Traiter le symptôme comme un palimpseste, c'est dans la
 psychanalyse une condition d'efficacité. [Lac77a, p. 15]
 
 
- C'est le réel qui permet de dénouer ce dont le symptôme
 consiste. [Lac74b, p. 22]
 
 
- Le symptôme consiste en un n ud de signifiants.
 [Lac74b, p. 22] ud de signifiants.
 [Lac74b, p. 22]
 
 
- Le symptôme est un événement de corps.
 [Lac75c, p. 16]
 
 
- Le symptôme hystérique, c'est le symptôme pour LOM
 d'intéresser au symptôme de l'autre comme tel. [Lac75c, p. 16]
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
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 Jacques B. Siboni