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Homme, humain, mâle, virilité, garçon

- L'homme est habité par le signifiant.
[Lac66a, p. 35]

- L'ordre du symbole n'est pas constitué par l'homme, mais
le constitue. [Lac66a, p. 46]

- L'homme pense l'ordre symbolique, car il y est d'abord
pris dans son être. [Lac66a, p. 53]

- L'homme a pu entrer dans l'ordre symbolique, comme sujet,
par la voie d'une béance spécifique de sa relation imaginaire à son
semblable. [Lac66a, p. 53]

- L'entrée de l'homme dans l'ordre symbolique ne peut se
faire que par le défilé radical de la parole. [Lac66a, p. 53]

- Tout le savoir humain est médiatisé par le désir de
l'autre. [Lac66a, p. 98]

- Le moi de l'homme n'est pas réductible à son identité
vécue. [Lac66a, p. 114]

- La satisfaction du désir humain n'est possible que
médiatisée par le désir et le travail de l'autre.
[Lac66a, p. 121]

- L'identification du sujet infans à l'image
spéculaire est le modèle du rapport fondamentalement aliénant où l'être
de l'homme se constitue dialectiquement. [Lac66a, p. 141]

- Le phénomène de la folie n'est pas séparable du langage
pour l'homme. [Lac66a, p. 166]

- L'être de l'homme porte en lui la folie comme limite de
sa liberté. [Lac66a, p. 176]

- Le premier effet qui apparaît de l'imago chez
l'être humain est un effet d'aliénation du sujet.
[Lac66a, p. 181]

- Le désir de l'homme trouve son sens dans le désir de
l'autre parce que son premier objet est d'être reconnu par l'autre.
[Lac66a, p. 268]

- La loi de l'homme est la loi du langage.
[Lac66a, p. 272]

- L'homme parle parce que le symbole l'a fait homme.
[Lac66a, p. 276]

- Le langage du symptôme est le langage qui saisit le
désir au point où il s'humanise. [Lac66a, pp. 293-294]

- Le langage humain constitue une communication où
l'émetteur reçoit du récepteur son propre message sous forme inversée.
[Lac66a, p. 298]

- Le moment où le désir s'humanise est aussi celui où
l'enfant naît au langage. [Lac66a, p. 319]

- Le désir de l'homme s'aliène dans le désir de
l'autre5.12. [Lac66a, p. 343]

- L'homme, dans la subordination de son être à la loi de
la reconnaissance, est traversé par les avenues de la parole.
[Lac66a, p. 352]

- La fonction symbolique est omniprésente pour l'être
humain. [Lac66a, p. 415]

- L'homme est, dès avant sa naissance et au-delà de sa
mort, pris dans la chaîne symbolique. [Lac66a, p. 468]

- L'extériorité du symbolique par rapport à l'homme est
la notion même de l'inconscient. [Lac66a, p. 469]

- La lettre produit tous ses effets de vérité dans
l'homme. [Lac66a, p. 509]

- L'inconscient ne laisse aucune des actions de l'être
humain hors de son champ. [Lac66a, p. 514]

- L'être de l'homme ne peut être compris sans la folie qui
est la limite de sa liberté. [Lac66a, p. 575]

- Le langage structure tout de la relation inter-humaine.
[Lac66a, pp. 618-619]

- Le désir de l'homme est le désir de l'Autre.
[Lac66a, p. 628]

- Il faut que l'homme, mâle ou femelle, accepte d'avoir et
de ne pas avoir le phallus, à partir de la découverte qu'il ne l'est
pas. [Lac66a, p. 642]

- Le désir mâle se note
. [Lac66a, p. 683]

- Dans l'homme et par l'homme, ça parle.
[Lac66a, p. 688]

- Les besoins de l'homme sont déviés, du fait qu'il parle.
[Lac66a, p. 690]

- Les besoins de l'homme sont assujettis à la demande; ils
lui reviennent aliénés. [Lac66a, p. 690]

- Le message de l'homme est émis du lieu de l'Autre.
[Lac66a, p. 690]

- La plupart des perversions mâles ont pour motif
imaginaire le désir de préserver un phallus, qui est celui qui a
intéressé le sujet dans la mère. [Lac66a, p. 734]

- Le désir de l'homme trouve forme comme désir de l'Autre.
[Lac66a, p. 813]

- Le de de `le désir de l'homme est le désir de
l'Autre' est détermination subjective. [Lac66a, p. 814]

- Le sexe mâle est le sexe faible au regard de la
perversion. [Lac66a, p. 823]

- L'être humain doit toujours se fournir d'un homoncule
dans sa tête pour faire d'un réel une réalité.
[Lac66a, p. 846]

- C'est grâce au Nom-du-Père, que l'homme ne reste
pas attaché au service sexuel de la mère. [Lac66a, p. 852]

- Il n'y a pas de science de l'homme, parce que l'homme
de la science n'existe pas, mais seulement son sujet.
[Lac66a, p. 859]

- Le monde n'est que ce que l'homme s'en représente.
[Lac84a, p. 15]

- L'objet de la psychanalyse n'est pas l'homme.
[Lac66c, p. 12]

- Le désir de l'homme est excentrique.
[Lac68c, p. 43]

- L'homme ne sait rien de la femme. [Lac70d, p. 64]

- La femme ne sait rien de l'homme. [Lac70d, p. 64]

- Être fait sujet d'un discours peut rendre l'être humain
sujet au savoir. [Lac70d, p. 85]

- Dans l'envie du pénis, le signifiant homme est ressenti
comme frustration. [Lac70d, p. 90]

- La conjonction des termes homme et femme ne peut produire
rapport sexuel. [Lac73b, p. 3]

- L'homme et la femme habitent le langage.
[Lac73a, p. 11]

- L'homme pense de ce qu'une structure découpe son corps.
[Lac74b, p. 16]

- Une femme ne rencontre L'homme que dans la
psychose. [Lac74b, p. 63]

- Le sens du sens est qu'il se lie à la jouissance du
garçon comme interdite. [Lac74a, p. 10]

- La femme n'a pas moins que l'homme la jouissance
phallique. [Lac82b, p. 83]
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Jacques B. Siboni