Mort, meurtre, létal, mortel

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Le signifiant matérialise l'instance de la mort. [Lac66a, p. 24]

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La tendance suicide représente l'instinct de mort ou le masochisme primordial. [Lac66a, p. 186]

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Le symbole se manifeste d'abord comme meurtre de la chose, et cette mort constitue dans le sujet l'éternisation de son désir. [Lac66a, p. 319]

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L'analyste intervient concrètement dans la dialectique de l'analyse en faisant le mort. [Lac66a, p. 430]

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L'analyste fait le mort par son silence, là où il est l'Autre. [Lac66a, p. 430]

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L'analyste fait le mort en annulant sa propre résistance, là où il est l'autre. [Lac66a, p. 430]

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En faisant le mort, l'analyste présentifie la mort. [Lac66a, p. 430]

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L'homme est, dès avant sa naissance et au-delà de sa mort, pris dans la chaîne symbolique. [Lac66a, p. 468]

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Le père symbolique, en tant qu'il signifie la loi, est le père mort. [Lac66a, p. 556]

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Le père souhaité du névrosé est le père mort. [Lac66a, p. 824]

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Le signifiant comme tel, a, en barrant le sujet par première intention, fait entrer en lui le sens de la mort. [Lac66a, p. 848]

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Toute pulsion est virtuellement pulsion de mort. [Lac66a, p. 848]