Béance, trou, orifice

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L'homme a pu entrer dans l'ordre symbolique, comme sujet, par la voie d'une béance spécifique de sa relation imaginaire à son semblable. [Lac66a, p. 53]

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Dans la psychose, le sujet s'est reconstruit autour du trou où le support de la chaîne signifiante manque au sujet. [Lac66a, p. 564]

$21063$

Le défaut du Nom-du-Père à la place de l'Autre ouvre un trou dans le signifié. [Lac66a, p. 577]

$30025$

$A$ et $s (\ensuremath{A}\xspace )$ participent de cette offre au signifiant que constitue le trou dans le réel. [Lac66a, p. 806]

$40013$

Le sujet n'est rien que le trou par quoi tout Autre est séparé de la jouissance. [Lac84a, p. 15]

$45010$

La position du psychanalyste est suspendue à un rapport béant, à la méprise du sujet supposé savoir. [Lac68e, p. 39]

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Dans la structure de la méprise du sujet supposé savoir, le psychanalyste doit trouver la certitude de son acte, et la béance qui fait sa loi. [Lac68e, p. 40]

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Un tore n'a de trou, central ou circulaire, que pour qui le regarde en objet, non pour qui en est le sujet. [Lac73a, p. 42]

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La sexualité fait trou dans le réel. [Lac74a, p. 10]