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- L'assomption jubilatoire de son image spéculaire,
par l'être infans, manifeste la matrice symbolique, où le je se précipite en une forme primordiale. [Lac66a, p. 94]

- Dans la perversion l'enfant s'identifie à l'objet
imaginaire du désir que la mère le désire, en tant que la mère
elle-même le symbolise dans le phallus. [Lac66a, p. 554]

- Le désir de l'enfant trouve à s'identifier au
manque-à-être de la mère. [Lac66a, p. 565]

- La formule de la métaphore s'applique à celle du Nom-du-Père de la façon suivante: [Lac66a, p. 557]

- Le refus de la castration est d'abord refus de la
castration de l'Autre (de la mère premièrement).
[Lac66a, p. 632]

- Si le désir de la mère est le phallus, l'enfant
veut être le phallus pour le satisfaire. [Lac66a, p. 693]

- Ce qui resurgit dans l'inconscient du sujet c'est le
désir de l'Autre, soit le phallus désiré par la mère.
[Lac66a, p. 733]

- La plupart des perversions mâles ont pour motif
imaginaire le désir de préserver un phallus, qui est celui qui a
intéressé le sujet dans la mère. [Lac66a, p. 734]

- La mère est l'Autre réel de la demande.
[Lac66a, p. 824]

- C'est entre le sein et la mère que passe le plan de
séparation qui fait du sein l'objet perdu en cause dans le désir.
[Lac66a, p. 848]

- C'est grâce au Nom-du-Père, que l'homme ne reste
pas attaché au service sexuel de la mère. [Lac66a, p. 852]
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Jacques B. Siboni