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Introduction aucommentaire de Jean Hyppolite sur la Verneinung de Freud, 1954

- Le sujet vrai est le sujet de l'inconscient.
[Lac66a, p. 372]

- Quand le sujet s'interrompt dans son discours, une
pensée l'occupe qui se rapporte à l'analyste. [Lac66a, p. 373]

- La résistance est essentiellement un phénomène du moi.
[Lac66a, p. 374]

- Le moi n'a rien à faire avec l'unité supposée de la
réalité du sujet. [Lac66a, p. 374]

- Le moi est impossible à distinguer des captations
imaginaires qui le constituent par un autre et pour un autre.
[Lac66a, p. 374]

- Le moi est à comprendre dans le mouvement d'aliénation
progressive où se constitue la conscience de soi.
[Lac66a, p. 374]

- Si l'analyste a affaire avec l'ego du sujet, c'est
qu'il sert alors de support à l'alter ego du sujet.
[Lac66a, p. 374]

- Le domaine de la violence commence aux confins où la
parole se démet. [Lac66a, p. 375]

- C'est la dialectique du moi et de l'autre qui fait
l'impasse du névrosé. [Lac66a, p. 377]

- Il n'y a dans l'analyse d'autre résistance que celle de
l'analyste. [Lac66a, p. 377]

- Dans l'analyse, le rêve ne vaut que comme vecteur de la
parole. [Lac66a, p. 378]

- La résistance se présente par le bout transférentiel.
[Lac66a, p. 378]

- L'inconscient, c'est le discours de l'Autre.
[Lac66a, p. 379]

- Le non-être se manifeste dans l'ordre symbolique.
[Lac66a, p. 380]
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Jacques B. Siboni