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Réponse aucommentaire de Jean Hyppolite sur la Verneinung de Freud, 1954

- La parole pleine se définit par son identité à ce dont
elle parle. [Lac66a, p. 381]

- Le refoulement ne peut être distingué du retour du
refoulé. [Lac66a, p. 386]

- L'effet de la Verwerfung est une abolition
symbolique. [Lac66a, p. 386]

- La Verwerfung est exactement ce qui s'oppose à la
Bejahung primaire. [Lac66a, p. 387]

- La Verwerfung constitue comme telle ce qui est
expulsé. [Lac66a, p. 387]

- La Bejahung est le procès primaire où le jugement
attributif prend racine. [Lac66a, p. 387]

- Ce qui n'est pas venu au jour du symbolique, apparaît
dans le réel. [Lac66a, p. 388]

- Le réel est le domaine de ce qui subsiste hors de la
symbolisation. [Lac66a, p. 388]

- L'expulsion primaire définit le réel comme extérieur au
sujet. [Lac66a, p. 389]

- Le symbole forclos ne rentre pas dans l'imaginaire.
[Lac66a, p. 392]

- Le symbole forclos n'existe pas.
[Lac66a, p. 392]

- Dans l'ordre symbolique, les vides sont aussi
signifiants que les pleins. [Lac66a, p. 392]

- Pour le schizophrène, tout le symbolique est réel.
[Lac66a, p. 392]
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Jacques B. Siboni